le capital et le travail , facteurs tous deux de production, et donc créant la richesse, il est indénianiable ue cette richesse se répartisent entre ces deux acteurs sois form ede salaire te de profi respectivement. Cete répartition fluctue néanmoins selon les périodes, selon la nature de l'entreprise et ce en fonction de la conhjncture notamment. . Ainis, dans la période de l'après guerre et pour le SNF, , nous constatons que la part des salaires a augmenté jusqu'à atteindre 67% de la richese créee à la fin des années 70. est restée relativement stable jusqu'au premier choc pétrlier ' 1973) Depiis les années 1980 , elle décroît régulièrement jusqu'à atteindre 57% dans les années récentes. Il en résulte donc une progresions de la part du capital , ce qui se tradut par un accroissement des inégalités m^me entre salariées eux m^me , certains d'entreeux bénéficiant dse stoks options .
Selon l'entreprise, le capital est considéré comme représentant une prise de risque , contribuant à l'innovation et donc à l'emploi. Pour ces dernières , il est donc esentiel de réminéré le capital.
Pour d'autre entrerises, il convient plûtot de ieux rémuner les salariés afin d'accrôire leur pouvoir d'achat ,et par conséquent la consomation et donc la croisance deux écoles qui se justifient. le partage de cete richesse a évolué selon la période . on observe ansi une stabilité des salaires de l'après guerre jusqu'en 1973 , date du premier choc pétrolier . S'en suit une évolution en 1980 , puis une baiise imporante à la fin des années 1982 ramenant en deça du nivea de celui observé au moment du premier choc pétrolier ; depuis 20 ans , la part des salaires est restée relativement stable en France . (2/3 de la VA) .
Alors pourquouoi tant de revndicatios de leur part? Le partage deux tiers/un tiers qui prévaut en France dans les sociétés non financières dissimule par ailleurs une grande variabilité intersectorielle ou microéconomique. Un quart des