En disant : «Nous sommes le fruit de l’éducation de nos parents», François Mitterrand nous fait comprendre que notre vision du monde nous vient en premier du regard que portent nos propres parents sur ce dernier. Ce sont eux qui nous ont inculqué nos premières normes de valeurs, puis en grandissant, nous nous sommes fait nos propres opinions pour accepter ou réfuter l’éducation parentale. Il en va ainsi de l’art, qui à l’instar du jugement que l’on à porter en grandissant, possède les même critères d’appréciation. Nous nous demandons si cela est « utile », ou tout simplement, et avec beaucoup de modestie, si l’on est dans l’incompréhension la plus totale. Comprendre un enseignement passe par l’assimilation des codes qui le régit, comprendre une œuvre d’art, c’est comprendre la culture qui lui est liée. Quand on sait que la culture ne se réduit pas à l’érudition et que l’appréciation n’est peut-être pas le seul jugement de goût en référence à des normes, comment peut-on dire que notre culture a sa place dans la compréhension d’une œuvre d’art ?
D’autres pensent que l’art n’est que l’attrait du beau qui n’a que pour seul but celui de l’esthétisme. Et de façon plus complexe pour certains, l’art devient immanence, transcendant jugement et appréciation au yeux de ses spectateurs.

Humain ce souvient, l’art lui, témoigne. Il porte les stigmates de son passage dans le temps et les lieux ou il à transité.
Témoin taciturne à l’histoire complexe, l’art ne nous parle que par énigmes. Pour comprendre son dialecte , il nous es demander de faire appel à notre culture, dans l’intension d’y comprendre les codes qui le compose.

Baudelaire à écrit « les fleur du mal » en 1857, son livre à parcourut 155 années, duquel les uses et usages de notre langage ont évolue. Pour comprendre ce que nous poétise Baudelaire, il nous faut faire un devoir de mémoire. C’est dans ce méandre poétique que notre connaissance de la langue française aura un impacte sur notre compréhension de