Faut-il être mur pour philosopher ?

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La philosophie a pour origine étymologique, la Grèce. Durant l’antiquité le terme « Philosophie » désignait « L’amour de la sagesse ». Philosophie vient de deux mots, dans un premier temps –Philo qui en grec signifie l’amour, et de –sophia qui signifie la sagesse. La maturité, ici à pour sens l’étape où l’organisme est à son plein développement, par exemple pour l’Homme quand nous passons de l’adolescence à la vie d’adulte. C’est pourquoi nous étudierons le fait de savoir s’il y existe un âge naturel ou idéal pour lequel nous pouvons philosopher ? Nous étudierons dans une première partie le fait qu’il n’y ait pas d’âge pour philosopher et dans une seconde partie nous contrasterons le fait qu’il pourrait avoir un âge où l’Homme est plus favorable à la réflexion.

Pourquoi les enfants seraient-ils exclus pour philosopher car il n’y a pas besoin d’être mûr pour philosopher parce que la philosophie est avant tout un apprentissage qui aide à grandir. Au final, serons-nous un jour réellement mûr ? Il faut sans cesse y travailler, ce n’est jamais quelque chose d’acquis : « Je sais que je ne sais pas » disait Socrate. C’est pourquoi l’âge n’est pas un critère qu’il faut prendre en compte car tout dépend aussi de l’expérience et du vécu de chacun. C’est l’expérience qui nous permet de philosopher car nous apprenons de nos erreurs comme le démontre la religion bouddhiste. Or, nous faisons chaque jours des erreurs qui nous permettent de ne plus les commettre de nouveau.
Il n’y a d’autant plus des questions existentielles que les enfants peuvent se poser dès l’âge de 3 ans, quand ils voient que d’années en années certains de leurs animaux de compagnie ou même des membres de leur famille sont décédés. Cela mène à leur faire réfléchir sur des questions telles que « Où allons-nous après la mort ? », « Pourquoi je ne peux pas rester petit ? » et bien d’autres questions que nous pouvons leur expliquer dans un vocabulaire plus enfantin. La philosophie est certes un moyen

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