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Depuis la crise de 1994, les gouvernements ont amélioré les fondamentaux[pas clair]macroéconomiques du pays. Le Mexique n'a pas été affecté de façon significative par la récente crise sud-américaine, et a maintenu son taux de croissance positif, après une brève période de stagnation en 2001.
Moody's (en mars 2000) et Fitch IBCA (en janvier 2002) ont publié des estimations pour la dette nationale du Mexique. En dépit de sa stabilité macroéconomique sans précédent, qui a réduit l'inflation et les taux d'intérêt à des minimums records et a augmenté le revenu par habitant, des écarts immenses persistent entre la population urbaine et la population rurale, les États du Nord et les États du Sud, et les riches et les pauvres2. Certains des défis du gouvernement comprennent l'amélioration des infrastructures, la modernisation du système d'imposition, les lois du travail et la réduction des inégalités des revenus.
L'économie est composée d'un mélange d'industrie et d'agriculture à la fois moderne et archaïque, ces deux ensembles d'activités étant dominés par le secteur privé. Les gouvernements récents ont renforcé la concurrence des ports, des chemins de fer, des télécommunications, de la production d'électricité, de la distribution du gaz naturel et des aéroports, avec l'objectif d'améliorer l'infrastructure. Comme il s'agit d'une économie orientée vers l'exportation, plus de 90 % du marché mexicain est sous les accords de