De nos jours le sport est synonyme de dépassement de soi. Il évoque souvent la gloire du sportif tout en mettant en avant ses exploits extraordinaires. Néanmoins, le sport renvoie l’image de certaines dérives, enjeu d’intérêts économiques majeurs, le sport peut faire prévaloir le goût du spectacle sur toute autre finalité, au point d’ouvrir la porte à des tricheries diverses. Le sport permet la manifestation de passion individuelles et collectives comme le constate l’écrivain Albert Camus dans la citation « Il n’y a pas d’endroit où l’homme est plus heureux que dans un stade ». Il est évident pour l’homme fanatique du sport que sa joie, son amour pour le sport débute dans un stade au milieu de son idole. Peut-on considérer le sport en général comme héroïque ? Le sport parfois rime avec divertissement. A partir du XXe siècle le sport a pris une place considérable dans le monde socioculturel audiovisuel, qui aboutit à un sport planétaire. Avec Sport mondialisé et ruse de l’histoire de REDEKER, le philosophe considère que le sport s’est planétarisé on prenant exemple sur la coupe du monde de football en Afrique du sud puits les jeux olympiques de Pékin. Cette pratique qui est devenu universel, a permis de rendre le sport visible, partout dans le monde et à chaque instant. Cet exemple se renforce d’autant plus comme le souligne, dans Le sport : du spectacle vivant au spectacle télévisé JAMET, le journaliste décrit le sport télévisuel comme une nouvelle façon d’apercevoir le sport sous différents angles de vue. Il est vrai qu’en mettant entre 15 et 20 caméras dans l’enceinte du stade, tous devient visible de chez lui pour le spectateur. Car c’est bien cela que vise la monstration télévisuelle du sport. Même si le sport et facteur d’épanouissement total, il peut être une cause de scandale lié à des agissements de différents spectateurs. Comme on peut le constater dans, Sociologie du sport de DURET, le sociologue distinguent quatre types de publics venant aux stades,