L’extrait étudié sera un petit passage du livre « Le Colonel Chabert » écrit par le célèbre écrivain Honoré de Balzac (20 Mai 1799 - 18 Août 1850) et parue en ?? ? . C’était un écrivain français de la première moitié du XIXeme siècle. Dans un premier temps, sera étudié la comparaison à un objet du Colonel Chabert et dans un second temps, sa comparaison à un zombie. Cette partie sera exclusivement réservée à étudier la manière dont Balzac présente le Colonel comme un objet. On voit que l’auteur présente son personnage comme un objet, comme une statut car il dit « Le Colonel Chabert était aussi parfaitement immobile que peut l’être une figure de cire de ce cabinet de Curtius… » . Il veut bien montrer qu’il ressemble plus à un objet qu’a un humain en utilisant cette comparaison qui le dévalorise. L’effet de la misère qu’il a ressentit toutes ces années à cause de cette guerre et des multiples choses qu’il a enduré se ressent sur le Colonel. En effet, il est d’abord comparé à « une figure de cire », ensuite à « …De la nacre sale… » puis, pour accentuer cette dévalorisation, son visage est « livide et en lame de couteau… ». Balzac cherche bien à insister sur ces comparaisons. Il fait ensuite référence à un tableau de Rembrandt. En effet, Balzac dit ensuite « L’ombre cachait si bien le corps (…) qu’un homme aurait pu prendre cette vieille silhouette due au hasard, ou pour un portrait de Rembrandt. ». L’auteur compare le Colonel à toute sorte d’objet dévalorisant. Enfin, pour bien représenter son personnage comme un objet sans aucun valeur, Balzac veut faire disparaître le peu de vie qu’il reste en Chabert « Enfin l’absence de tout mouvement dans le corps, de toute chaleur dans le regard… » Il veut vraiment le comparé à quelque chose d’inanimés, détruit par le temps. Dans cette partie, la comparaison de Chabert à un zombie sera mise en valeur. Chabert est souvent comparé à un personnage fantastique comme le zombie comme on peut le voir dans plusieurs passage