Voltaire, Candide, VI

Questions

I) La situation du chapitre

1) Le titre de ce sixième chapitre se contredit car nous avons un groupe de mots comportant le mot bel et autodafé puis empêcher et fessé. Ceci est ironique car ces deux expressions ne peuvent être combinés pour faire du sens.

2) La première phrase du chapitre nous évoque le rappel des effets désastreux. Il nous parle de quelques personnages secondaires de l’histoire et d’une décision de l’université de CoÏmbe qui est l’autodafé.

3) Le dernier paragraphe du chapitre annonce une suite puisque le personnage principal n’est pas mort et se fait aider par une vielle dame qui lui dit de la suivre. Nous n’avons pas la suite juste les paroles de la vielle dame.

4) En effet, nous retrouvons dans le chapitre 8 un récit de l’autodafé. Mais contrairement à celui du chapitre six il est pris au sérieux et pas ironiquement. Dans le chapitre 6 L’autodafé est comparé à un spectacle, il y a la présence de minimisation de plusieurs éléments et un amusement des spectateurs lors de ce crime si méchant.

5) Nous avons dans le chapitre six, un premier l’entré des héros su scène. Par la suite nous avons une description suivie d’une accélération 8 jours après. Nous retrouvons des séries d’actions notamment la torture et des détails sur le spectacle de l’horreur.

II) La critique du fanatisme religieux

1) Les différents condamnés sont présentés innocemment. Nous croyons que la raison de condamnation est ridicule surtout avec l’absence de procès.

2) Les fautes reprochées aux victimes de l’autodafé ne sont pas du tout grave mais ridicule. Voltaire choisi précisément ces chefs d’accusation afin d’accuser l’Inquisition et donc la religion pervertie.

3) La tournure à la voix passive insiste sur la variété des faits (tortures). L’emploi du pronom indéfini on montrent que Voltaire essaie de montrer que tous les on participe à l’autodafé et donc sont tous