Fred pellerin, raymond, dani
Je doute fort que l’on puisse voir ce mot autre que dans un texte québécois. Le mot qu’est << bécosse >> ne figure aucunement dans le dictionnaire international. Ce qui, une fois de plus, prouve que ce mot est issu de la tradition orale québécoise. Utilisant autant d’expression québécoise, il n’est pas surprenant que se conte sois aussi un vecteur de culture.
Voici un autre extrait qui montre ce point : << Lui qui se privait des messes dans son église local. >> ( p. 74). La culture québécoise datant est imprégnée de la religion telle que démontre l’extrait précédent : de nos jours, la religion n’est plus tant présente. Voilà pourquoi le fait de parler autant de religion est un aussi important dans ce texte. En effet, l’auteur veut, …afficher plus de contenu…
>> ( p.66). Dans le contexte c’était hilarant et fortement exagéré.
Ses l’un des nombreux exemples que nous aurions pu utiliser pour illustrer le coter drôle, léger, comique, exagéré et diversifiant de ce conte. Nous aurions aussi pu choisir le titre : << Bois du thé fort, tu va pisser drette ! >> Avez-vous déjà vu un titre aussi loufoque ? Ce titre annonce à lui seul le ton du conte. Le fait qu’elle est issue de la traduction orale, un vecteur de culture et qui sois destiné a divertir prouve que cet écrit a sa place dans la catégorie des contes traditionnels. Dans un deuxième temps, ce conte peut figurer parmi les contes urbains. Il est surtout associé a la ville est ses habitants. Preuve l’appuie : << mon père, je m’accuse […] >> (p.35).