gangs de rue en réponse à une désorganisation sociale
La violence, les crimes, les vols, le vandalisme, les délits en tout genre, sont des faits de société qui nourrissent les médias et qui font les gros titres des journaux. Très souvent les histoires de gang sont en cause. Les gangs sont devenus un véritable phénomène de mode en essor à une échelle interplanétaire.
Il existe plusieurs types de gangs mais celui qui va nous intéresser est celui intégrant des caractéristiques interethniques évoluant en tant que bandes criminalisées et ayant une notoriété aiguisée auprès des services des forces de l’ordre.
L’effet de gang s’étend sur tout l’hémisphère et son expansion est difficile à contenir, car en effet tenté de faire barrière à cette vague c’est provoqué l’enthousiasme de ses membres qui tirent volontièrement leur reconnaissance par une expérience carcérale. La création réelle du groupe est en réponse à des carences sociales, relationnelles, monétaire et bien d’autres facteurs encore. Le gang place l’individu comme un soldat et le dépouille de sa réflexivité afin de servir une cause. Ils servent, effectivement, un but commun et chaque individu qui intègre le groupe se doit de le servir; c’est la raison pour laquelle une «tête» puissante et dirigeante est établie à l’apogée de ce corps criminel, faire respecter les lois internes. Ce phénomène ayant l’image d’un groupe fraternel, exprime sa force, sa solidarité, sa détermination et son mécontentement face à une situation intériorisée en agissant de manière illégale, et inconforme aux normes sociétales. Cet engouement est nourrit par l’ensemble des adhérents du groupe.
Dans ce travail il sera matière à développer, dans un premier temps, le gang en tant que formation à but revendicateur démontrant son appartenance à un groupe selon des caractéristiques particulières.
Ensuite, nous attireront notre attention sur l’école de Chicago qui a centré ses études sur la criminalité en établissant un lien entre