Generation et transmission
Les documents se trouvent à cette excellente adresse :
http://brunorigolt.blog.lemonde.fr/category/bts/ à la date du 27 janvier 2010
a), b), c) désignent des paragraphes, sans retour à la ligne dans vos copies
Certains liens logiques ont été soulignés pour montrer les contradictions, les paradoxes que vos copies devaient relever puisqu’ils figurent dans le dossier. Mais dans une copie manuscrite on ne souligne que les titres d’œuvres
« Familles je vous hais ! », écrivait André Gide pour affirmer son identité, et pourtant demeure en chacun le besoin de s’inscrire dans une continuité historique, une filiation. Le dossier proposé fait état des paradoxes ou contradictions auxquels est aujourd’hui confrontée la famille qui demeure le lieu de prédilection de transmission intergénérationnelle. Que transmettre en effet, et comment, lorsque du passé l’on a voulu « faire table rase » ? Comment résoudre ce paradoxe de la continuité dans la rupture ?
Ce qui demeure : a) Ce qui se transmet et où ?: - un patrimoine génétique E. Goldbeter-Merenfield[1]et matériel: F. Hurstel[2] , patrimoine qui vaut par la filiation qu’il symbolise plus que par sa valeur marchande. - ce que confirme le fait que pour 91 % des sondés en 2005 par l’institut TNS Sofres pour Le Figaro la famille est le lieu privilégié de cette transmission, très largement avant l’école. C’est là sa principale fonction pour E. Goldbeter-Merenfield. Elle est le lieu où se rencontrent les générations d’après le rapport dirigé en 2006 par A.Cordier et A. Fouquet à destination d’un ministre. Que transmet-on ? - Le sondage effectué prouve une relative stabilité dans la hiérarchisation des valeurs morales