La Grenade… Je pourrai vous dire que c’est l’un des premiers symboles végétaux présentés à l’apprenti. Ou bien, que ce symbole peut être assimilé à la franc-maçonnerie ou à une loge maçonnique, avec des alvéoles et des grains représentant les différentes loges ou les sœurs et les frères, étroitement solidaires (en théorie tout au moins…). Ou encore, que les membranes et l’écorce amères évoquent le voile qui nous couvre les yeux cachant les grains sucrés et juteux de la vie maçonnique. Ou pourquoi pas, qu’elle est le symbole d’une dualité éternelle : le jus aux propriétés bénéfiques multiples opposé à la racine toxique du grenadier, la vie et la mort, le sacré et le profane. Tout ça vous le trouverez sans difficulté, partout, dans un livre ou sur un site internet traitant de la symbolique maçonnique…
La grenade et la mythologie… Je n’en parlerai point…
Sinon, nous pourrions également avoir une approche plus guerrière du sujet. Grenade à main, lance-grenade, grenade lacrymogène ou grenade assourdissante. Quand elles explosent, il vaut mieux ne pas rester dans les parages. Cette grenade-là n’est pas notre sujet. C’est même tout l’opposé d’une loge maçonnique comme la nôtre. Si une loge risquait l’implosion, il faudrait au contraire, reformer la chaine d’union et se serrer les uns avec les autres et pas contre les autres, comme les grains de la grenade, le fruit, notre sujet. Il me reste donc 3 ou 4 minutes pour vous en révéler quelques mystères. Et je n’irai pas à tâtons, notre sœur Véronique m’excusera…
Du symbole à la devinette ! Quel est le point commun entre la grenade et l’abeille ? Ou plutôt entre un grain de grenade et une alvéole de la ruche ? D’aucuns parmi vous souhaitent lever la main ! Je vais abréger les souffrances intellectuelles et cérébrales de ceux qui n’ont pas deviné en vous révélant la réponse : le point commun c’est le dodécaèdre rhombique.
Pourquoi diable, l’abeille se complique-t-elle la vie à disposer son précieux miel dans une forme aussi