Grh au maroc
Les changement de l’action syndicale qui s’est fait progressivement, au fil des années 60, avait joué un rôle déterminant dans la structuration des pratiques de Gestion des Ressources Humaines en deux espaces : les entreprises qu’on pourrait qualifier – à défaut de mieux – d’entreprises privées bénéficiant de situation de quasi monopole ou tout autre condition favorable les mettant à l’abri des aléas du marché et de la concurrence.Trois aspects fondamentaux caractérisent la Gestion des Ressources Humaines dans ces entreprises structurées :
- Un système d’administration du Personnel formalisé et très contraignant pour les entreprises concernées.
- Des services sociaux mis à la disposition des salariés qui viennent combler les insuffisances de ceux fournis par l’Etat dans le cadre d’une mutualisation globale : couverture médicale, retraites, vacances et loisirs, différents types d’aides…
- Une culture de la négociation et du dialogue social surtout pour ce qui concerne le fonctionnement des services sociaux. Le maintien de « bon rapports avec les partenaires sociaux » constitue une préoccupation majeure de la fonction Personnel dans ces entreprises.
Ces trois aspects vont façonner un espace plus ou moins homogène des pratiques de GRH avec des salariés bénéficiant d’un « confort social » qui tranche avec la réalité des Ressources Humaines des autres, composées pour l’essentiel des établissements publiques indépendance==> 1)construction de l'état et de ses institution de base==> ne pas s'interesser a la performance ni aux pratiques de la grh I==>2)départ massif des gestionnaires et techniciens français qui avaient emporté avec eux une partie du savoir-faire
1) cette période été consacrée essentiellement à la construction