GROUPES ARMÉS
Depuis la création du groupe ELN, le gouvernement national a essayé de prendre la voie de négociations. Quelques offensives ont été amorcées par l’armée colombienne pour essayer d’éradiquer le terrorisme. Déjà en 1973, l’ELN subi des graves coups pour son organisation. Ses hommes se verront réduits a quelques 3000 combattants lors de l’opération ‘’Anori’’ un coup de guerre amorcé par les forces armées de la Colombie contre ce groupe de guérilleros1.
Il y a des négociations de paix qui marquent le début d’un possible accord. Entre les plus importantes on retrouve les vraies négociations qui s’entament à partir de 1998 lorsque le nouveau commandant du groupe Nicolas Bautista n’a pas voulu se rencontrer avec le président de l’époque Ernesto Samper. Il a fait ses rencontres avec des représentants de la société civile2. Ils se sont mis d’accord pour impulser une convention nationale. La convention sera étudié ensuite par le gouvernement qui suivra avec monsieur Andres Pastrana à la tête3.
Accords de paix entre le gouvernement Pastrana et l’ELN
En 1999, le gouvernement Pastrana offre Cinque alternatives à l’ELN pour pouvoir mener à terme une convention nationale4.
1-l’opération Santana qui demande la suspension d’opérations militaires et ce durant la convention nationale : 21 jours pendant 8 moins
2-etablir un dialogue direct avec une structure qui se ressemble et sans modifications pendant les huit mois
3-demovilisation, sans forces armées ou guérillas dans une zone ou seul la police nationale puisse rester avec garantie pour les participants dans les réunions
4-chercher un pays médiateur ou l’on puisse négocier : entre janvier et février 2002 les délégués Pastrana et des représentants du ELN négocient la paix la havane cuba dans ‘’La cumbre por la Paz’’. Aussi à Genève, suisse commandité par le centre de dialogue humanitaire de l’ONU, les porte-paroles du commissariat pour la paix et les délégués du ELN avec des