Génocide rwanda
Un pays aux mille collines qui parsemé de lacs regorgeait de beautés. Un pays qui divisé en deux classes ethniques allait devenir l’image du génocide le plus rapide de l’histoire. Le Rwanda est un pays de l’Afrique Central qui du 6 avril au 4 juillet 1994 connaitra une terrible boucherie. Par cet acte, je tenterai de répondre à : qu’est-ce que cet exemple d’abomination a pu apporter au monde ? Comment au niveau internationale avons-nous réagit ou laisser faire. Certains ont essayés, d’autres ont laissés faire. Pourquoi n’y a-t-il pas eu une intervention plus rigoureuse de l’ONU ? Je tenterai de mieux comprendre cet enjeu et l’analyser de façon à bien développer une critique politique. Pour ce faire, j’ai fait une recherche bibliographique solide comportent des études universitaires et des articles qui avec des auteurs reconnus forme une bibliothèque de donnée et m’apporte tout ce que j’ai besoin pour comprendre. Par exemples, je me servirai d’une mémoire de Mme Rose et d’un excellent reportage de Radio-Canada sur comment survivre au génocide du Rwanda. Je vous présenterez ensuite le contexte du génocide, puis ferai ressortir les conséquences et je montrerai comment le conflit aurait pu être évité.
Le contexte :
Il faut tout d’abord comprendre que la société rwandaise se séparait à l’origine entre les Hutu majoritaire et les Tutsi minoritaire. Bien qu’en général ils soient physiquement différents, ils parlent la même langue et respectent chacun leurs propres coutumes. Il n’avait pas vraiment de tension au sein des groupes avant que les blancs viennent chambouler l’équilibre qui régnait entre eux. En effet, les Belges commenceront dès leurs arrivé en 1916 à faire apparaitre une sorte de hiérarchie en démontrant que les Tutsi moins nombreux, avaient des attributs blanches, car leurs physiques étaient plus proches de la leurs. Delà, commence la supériorité des Tutsi qui seront instruits et deviendront les élites rwandaises. Ils poursuivront une