Diversité des montagnes.
Rapport, relation eau – montagne.
- Montagne : réservoir. Amont-aval.
- érosion, pente, déclivité : accroît les risques.
- saisonnalité des ressources (surplus, manque) : discordance besoins ressources
- réchauffement climatique

*montagne : pas de définition générale et universelle. Imprécision, même si on essaye de se doter de critères, notamment pour dvp une polit sur la montagne.  masse qui s’élève au-dessus des terres environnantes, pente > 20% et altitude > 700m (loi montagne, 1985). Handicaps : agriculture, situation objectivement pénalisante aux conditions locales de dvp, qui justifie des mesures compensatrices pouvant provenir des aides publiques, de l’Europe (FEDER). Donc nécessité d’une définition de la montagne d’un point de vue administratif. Dénivellation, phénomènes liés à la gravité. Exposition au soleil : adret / ubac  pas les mêmes acts, pas la même végétation etc etc.
Massifs cristallins ≠ sédimentaires : cristallins plus hauts, plus propices au ski.
Obstacle de la montagne : Alpes hautes, MC longtemps contourné.
Haute montagne (>2500m) ≠ moyenne montagne (enneigement plus limité, regroupe 90% de la population montagnarde, la vie humaine y est toujours présente).
Démographie : 29% de la superficie fr est utilisée par la montagne. 8M d’habitants ds esp montagnards donc on est loin d’être dans un esp vide.
Montagne est d’abord un esp indus, pas bcp d’agri.
Vallées ne sont pas à l’extérieur de la montagne mais dépendantes de la montagne donc dépendantes en partie de ce qui s’y passent.
 montagne = château d’eau comme espace et comme réserve.
 solidarité amont-aval
 rôle réchauffement climatique.

Pbl° : dans quelle mesure les esp et les acteurs de la montagne parviennent à mettre en place une action raisonnée de la gestion de la ressource d’autant plus cruciale que la montagne en constitue le milieu d’origine et que la maîtrise des ressources n eau conditionne son dvp.

I La montagne, milieu essentiel