Incendies : Comparaison pièce de théâtre/ film L’intrigue1. Comment expliquez le titre ? Le titre Incendies peut d’abord faire référence à plusieurs scènes du film comme de la pièce. On peut d’abord citer la scène du film où Nawal est devant un bus musulmans qui a été brûlé par des chrétiens. Mais d’autres incendies ont eu lieu dans le film. Par exemple, lorsque Nawal arrive à l’orphelinat où elle espère trouver son enfant, on lui apprend que celui-ci a été incendié. …afficher plus de contenu…

Lorsqu’elle s’approcha de lui, elle reconnut malheureusement son violeur qui était également le père de ses deux enfants. Tandis que dans la pièce, c’est en suivant le procès de son violeur Abou Tarek, que Nawal découvre que son violeur est son fils et aussi le père de ses jumeaux. Durant le procès, Nawal a reconnu le nez de clown qui appartenait à Wahab que Nawal a donné à son fils juste avant de s’en séparer. Cela s’est passé le jour de l’anniversaire des jumeaux qui est aussi le jour où elle arrêta subitement de parler. Je préfère la fin de la pièce car Abou Tarek a eu son procès et a pu payer pour toutes les horreurs qu’il a infligées à toutes ces femmes dans la prison où il travaillait. Dans le film, Abou Tarek vit …afficher plus de contenu…

Cela a servi de transition pour que Nawal puisse raconter l’histoire. Alors que dans le film, cet épisode est montré dans un flashback.· Dans le film la scène où Nawal accouche a été modifié. Dans la pièce on apprend qu’elle a accouchée seule mais dans le film elle accouche avec l’aide d’une infirmière. · La scène 35 « La voix des siècles anciens », a été modifié dans le film. Dans la pièce, Chamsedinne apprend à Jeanne et à Simon que le frère Nihad est aussi le père qui a violé leur mère Nawal lorsqu’elle était en prison. A la fin de la scène on assiste à un discours de Nihad lors de son procès. On comprend alors que c’est lors de ce procès que Nawal a su que son fils était aussi le père de ses deux autres enfants. Mais, dans le film, Aucun procès n’a été fait contre Nihad, et c’est lorsqu’elle était à