Inconvénients sur l'argentique :

1 :
- D'après Darius Khondji, le prix à payer lorsqu'on tourne un film en Cinémascope classique est l'extrême lourdeur de tous les appareils techniques et notamment de la caméra, et les objectifs anamorphiques. En Cinémascope, le plus difficile est de régler la profondeur de champ, ça nécessite beaucoup de lumière.

2 :
-D'après Darius Khondji, Kodak et Fuji fabriquent des films trop nets, ressemblant de plus en plus au numérique. Pour palier à ce problème, à partir de pellicules très douces de chez Kodak, Khondji a dégradé la pellicule à l'aide de deux procédés. Il a d'abord filtré beaucoup l'image, comme ça se faisait à l'époque lorsqu'ils tournaient en Scope, puis il a ''abimé'' la pellicule en la flashant lors de la prise de vue. Avec ces deux procédés il a pu arriver à un rendu plus ''sale'' de l'image. Procédés qu'il juge risqués pour le négatif...

3 :
-L'image de « John Mc Cabe » est très sale car à l'époque (1971) les objectifs Cinémascope n'arrivaient pas à encaisser les fortes lumières, les blancs bavent sur les noirs et créent un effet d'auréole. Pour recréer cet effet dans « The nightingale », dont la sortie est prévue le 27 novembre 2013, il a commandé une soixantaine objective anamorphiques Cooke des années 60 et en a retenu une douzaine.

-L'image de « John Mc Cabe » est très sale car à l'époque (1971) les objectifs Cinémascope n'arrivaient pas à encaisser les fortes lumières, les blancs bavent sur les noirs et créent un effet d'auréole. Pour recréer cet effet dans « The nightingale », dont la sortie est prévue le 27 novembre 2013, il a commandé une soixantaine objective anamorphiques Cooke des années 60 et en a retenu une douzaine.
-L'image de « John Mc Cabe » est très sale car à l'époque (1971) les objectifs Cinémascope n'arrivaient pas à encaisser les fortes lumières, les blancs bavent sur les noirs et créent un effet d'auréole. Pour recréer cet effet dans « The nightingale », dont la