Institutions politique
Au Maroc, le système de création des normes juridiques a connu une évolution considérable caractérisé par un effort permanent de consignation entre un passé ou règne des principes des droits publics et musulman et une époque marqué par l’influence occidentale. Jusqu’au 1912, date du protectorat français au Maroc, les règles qui régissaient la société marocaines étaient des règles de droit public musulman créés sans procédure régulières.
Elles étaient le produit de différentes interprétations des principes généraux contenus dans le Coran en raison de l’inexistence d’un législateur bien déterminer en l’occurrence d’un pouvoir législatif tel qu’en le conçoit aujourd’hui .
Avec le protectorat, cette situation va être renversée du fait que l’autorité protectrice va faire en sorte que les OULAMA (Des docteurs en droit public musulman) sont tenu à l’écart.
Toute la législation comme le Royaume chérifien sera désormais l’œuvre du Résident générale et du Sultan. I. L’Etat marocain avant le protectorat.
Qualifié le plus souvent (Maroc traditionnel) correspondant en faite à une époque caractérisé par l’absence d’une constitution permettant de définir les différentes taches de l’Etat d’une façon précise. Les organes qui assument l’accomplissement ainsi que les rapports entre les pouvoirs et le domaine d’action de chacun d’eux.
En effet, avant le protectorat, le Maroc étaient soumit au principe du droit public et musulman. Toute l’organisation de la communauté été conçu selon les règles Coranique qui régissaient, le reste des sociétés musulmane. La fonction législative était exercée selon la conception arabo-musulmane qui considère la loi issue de Coran comme un ensemble impératif reposant sur une base divine car en Islam, Dieu est le législateur par excellence.
Concernant le Sultan du Maroc, il jouissait de 2 catégories de pouvoir, les un sont d’ordre religieux, d’autres à caractères temporales. S’agissant des pouvoir religieux, il veuille au respect