interview Vian
Enchanté monsieur Vian, je suis journaliste pour le magazine Culture & vous, pourrai-je vous poser quelques questions sur votre parcours inqualifiable ?
Bien sûr, j’accepte avec plaisir.
Tout d’abord quel est votre parcours professionnel, comment êtes-vous arrivé romancier ?
Eh bien j’ai été diplômé de l’Ecole centrale pour devenir ingénieur, j’ai exercé ce métier quelques années seulement, j’ai préféré me consacrer a des domaines plus artistiques, tels que la musique, notamment le jazz, et la littérature. La musique m’a fait connaître, j’étais en effet amateur de jazz et j’ai animé des soirées, cela m’a rendu populaire dans mon quartier, sous quelques pseudonymes comme « le prince de saint-germain des prés », ou « S. Culape ».Je me consacre réellement à la littérature en 1944 en finissant d’écrire Vercoquin et le plancton, à la suite de la mort de mon père. Je me suis mis plus tard à la chanson, au théâtre et à la cinématographie.
Quel grand parcours ! Quels œuvres les plus reconnues ou non vous on permis d’avancer dans le monde de la littérature ?
Comme je vous l’ai dis précédemment j’ai écrit mon premier roman le 22 novembre 1944 intitulé Vercoquin et le plancton et je fit soumettre par la suite ce roman à Jean Rostand. De plus d’autres ouvres tels que J’irai cracher sur vos tombe en 1946 ou encore l’herbe rouge publié en 1950 on connu un franc succès malgré la polémique de 1946 lorsque mon roman fut critiquer a plusieurs reprises pour des raisons pornographiques et raciales ayant mis mal a l’aise les lecteurs.
Quels sont les personnes qui vous on permit d’être reconnu et d’avancer dans la littérature française ?
Il y a eu tant de personnes très utile pour moi qui m’ont permis d’avancer que je risque d’en oublier mais je peut au cours de cet interview l’est remercier encore une fois. En 1944, j’ai rencontré Mr Rostand à qui j’ai confié mon premier roman. Ensuite, en 46, lors de ma collaboration aux Temps