LA COGNITION
ET LES ÉMOTIONS

Quand nous réagissons sur le coup des émotions, nous ne réfléchissons pas, tandis que si nous réfléchissons nous pouvons nous en sortir.

La circonstance atténuante est l’émotion :
Elles peuvent s’emparer de nous ?
Elles peuvent nous faire des choses ?
Elles sont mauvaises ?
« C’est un orage affectif, un trouble momentané et assez violent qui concerne à la fois la conscience et le corps » (1962)
Remarque : La peur, la colère, l’angoisse, et la honte sont des émotions.

Pouvons-nous les définir ?

C’est difficile et empli de paradoxes.

C’est une réaction physiologique déclenchée par quelque chose et provoquant des conséquences n’étant pas toujours prévisible.

Les émotions participent à la communication donc cela pourrait rapprocher les hommes.

Les enfants, avant d’avoir pleinement accès au langage, peuvent tout de même transmettre de nombreux messages à leurs parents. Mais pourtant lorsque nous voyons quelqu’un qui des émotions comme la colère, nous n’allons pas vers lui. De même pour une personne ayant une émotion de joie trop « excessive » que nous pourrons avoir tendance à considérer comme « bizarre ». Les émotions bloquent la communication dans certains cas, donc définir les émotions sous l’aspect de l’utilité à la communication n’est pas pour autant possible avec simplicité.

Il y a de la biologie dans les émotions mais le contexte est déterminant.

Nous les recherchons mais nous les évitons en même temps
(Ex : saut à l’élastique, film d’horreur…)

Historique
Les émotions font partie intégrant de notre âme, les pensées peuvent les contrôler.

Nous avons une distinction entre l’homme et l’animal.

L’émotion serait la part animal de l’homme qui resurgirait.

I. L’ÉMOTION FAIT-ELLE DE NOUS DES BÊTES ?
Non pas au point de vue de l’adaptation selon DARWIN.

Il va décrire les émotions et il va s’appuyer sur la théorie de l’évolution :

Plus les animaux sont évolués, plus