HOULLIER Jessie TS2 Texte d’Alain 1) * Se baser sur les signes d’une vocation afin d’orienter l’instruction d’un individu semble être le meilleur moyen pour l’individu de s’épanouir et de se distinguer dans la vie, idée contre laquelle s’oppose Alain. Par exemple, un individu qui est passionné de musique et qui se révèle être doué dans ce domaine va s’instruire davantage sur la musique et approfondir ses connaissances sur le sujet en prenant du plaisir à y consacrer des heures puisqu’il est fort probable qu’il en fasse sa vie, profitant des facilités dont il est doté pour se démarquer des autres.

* Il semblerait effectivement logique d’« orienter l’instruction d’après les signes d’une vocation », d’une part parce que le fait de forcer un individu à apprendre des choses dont il ne fera rien plus tard est inutile, et d’autre part car le temps qu’il passera à s’instruire de choses qui ne l’intéressent pas et qui ne lui serviront pas dans sa vie future sera considéré comme du temps de perdu qu’il aurait pu consacrer à l’approfondissement de sa vocation.

* L’idée reçue est fondée sur le fait que la liberté est la possibilité d'agir selon sa propre volonté en fonction des moyens dont on dispose dans la mesure où l'on ne porte pas atteinte aux droits des autres. Une personne libre est une personne qui ne subit pas de contraintes ni de soumissions exercées par une autre personne. Ainsi l’individu est libre d’apprendre ou non ce qu’il veut dans les domaines qu’il a lui-même choisi, sans qu’on ne lui impose quoi que ce soit.

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* L’instruction est d’abord une contrainte car si on s’appuie sur les motivations des individus, donc sur leurs désirs, on considère que ceux ci ne les trompent pas. Or, nos désirs peuvent être de mauvais guides, et s’instruire de nouvelles choses « qu’on n’aime pas savoir » permet de renforcer son esprit critique. Alain reproche donc à cette idée d’empêcher le développement de l’esprit critique de