Kaji

12023 mots 49 pages
Introduction : Chaque être humain est différent. Il accepte plus ou moins bien dès son plus jeune âge l’image que son corps rejette à autrui. M. Bruchon-Schweitzer avait défini en 1987, l’image du corps comme étant : « l’ensemble des perceptions, et des représentations qui nous servent à évoquer notre corps, l’évaluer, non seulement en tant qu’objet doué de certaines propriétés physiques (poids, taille, couleur, forme) mais aussi comme sujet ou partie de nous-même, chargée d’affects multiples et parfois contradictoires »[1].

On est plus ou moins complexé par une ou plusieurs parties de son corps durant notre existence. Chose que l’on arrive a plus ou moins accepter. Et si l’acceptation de ce corps est impossible, on peut être amené à subir une intervention chirurgicale pour gommer la partie de notre corps qui nous blesse tant.

Or, il arrive que des personnes soient contraintes de subir un changement physique définitif, à cause d’une maladie chronique. Cela va donc entrainer une modification de leur image corporelle. Elles vont devoir recommencer à zéro le processus d’acceptation de leur nouvelle image corporelle, c’est par exemple le cas des personnes souffrant de cancer colorectaux, qui devront subir une dérivation de l’intestin.

Le cancer du côlon est le 1er cancer digestif en France. Cette maladie touche près de 22 000 personnes par an. Elle touche plus les hommes que les femmes. Dans plus de 9 cas sur 10, le cancer survient chez des personnes âgées de plus de 50 ans.[2]

J’ai donc décidé de réaliser mon travail de fin d’études sur la colostomie, et plus précisément sur l’acceptation de l’image corporelle chez le patient colostomisé.

Dans une première partie, nous verrons le constat qui m’a amené à ce sujet, puis le cadre de référence avec les concepts, les apports théoriques et législatifs. La seconde partie est consacrée à l’analyse de mon enquête afin de valider ou non mon hypothèse et enfin à ma proposition

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