La crise de la III. République

La III. République était celle-ci, qui a duré le plus longtemps, (1871-1940) malgré le fait que le régime républicain n’était pas trop souhaité à son début. Surtout parce que l’image de la République était pour le peuple celle de la 2.=>qui était incapable de sortir de la crise qu’elle avait crée -- et celle de la 1. => la dictature de Robespierre. Mais à partir de 1971 le républicanisme a prit un aspect rassurant, modéré et libéral. Elle a reprit la tradition de la 2. Rép. : Le pouvoir législatif est exercé par 2 Chambres : le Sénat + la Chambre des députés. Le pouvoir exécutif appartient au Président de la République qui est élu pour 7 ans par ces 2 chambres. En ce qui concerne les partis, il y avaient :

❖ les Monarchistes, qui se divisent en 2 familles : - les légitimistes : qui désirent le retour à la monarchie de droit divin et ils détestent la Révolution et ses avancées. - Orléanistes : veulent réconcilier la Royauté.

❖ Opportunistes : se composent de républicains modérés, c.à.d. de la coalition des députés de l’ancien régime de centre-gauche, de la gauche républicaine de Jules Ferry et de l’union républicaine de Gambetta ❖ Bonapartistes : leur nombre est réduit après la mort du prince impérial. ❖ Radicaux : parti gauche, qui au début ne sont pas assez forts pour espérer déloger du pouvoir des opportunistes.

La dominance des opportunistes, qui a permi de donner naissance au régime, disparaît avec les élections de 1885, où il y aura un renforcement de droite ( 200 conservateurs ont été élus)
Et une montée de la gauche ( les radicaux receuillent une centaine de sièges) Ces résultats peuvent être expliqués par la campagne d’agitation nationaliste de Paul Délourède sur le thème de revanche en réclamant le retour de l’Alsace-Lorraine. Pour lui, la conquête coloniale que faisait le gouvernement était inaccessible, qui puisera l’énergie dont la France avait besoin pour une future guerre