La crise financiere
Beaucoup d’entreprises possèdent à l’heure actuelle un nombre important de titres procurant un certain avantage comme par exemple l’accroissement du résultat. En comptabilité, l’entreprise dispose d’un choix concernant les titres à savoir : Elle peut choisir d’acquérir des VMP (valeur mobilières de placement) qui sont des titres spéculatifs sans grande destiné stratégique. A l’inverse les titres immobilisés ont une destiné stratégique et procurent des avantages sur une plus longue période.
Au fil du temps ces titres évoluent et sont sujet à des pertes de valeurs ou des hausses de valeur ; pour analyser tout cela l’entreprise procède à la dépréciation et constate l’évolution de ses titres :
*Pour les titres immobilisés, elle retient la valeur d’usage et on fait la différence avec la valeur chiffrée au moment de la dépréciation.
*Pour les VMP c’est une autre chose : étant cotés en Bourse, l’entreprise doit tout simplement regarder l’évolution du cours.
La dépréciation étant effectuée, à la fin de l’exercice comptable, si l’entreprise constate une perte elle doit, par le principe de prudence constater la dépréciation si l’inverse est constaté la prise en compte n’est pas nécessaire
Le fléau 2007-2008 et qui se confirme courant 2008 est celui de la crise financière déclenchée par les «Subprimes» aux Etats-Unis, des banques prises à leur propre jeu « donner toujours plus pour encaisser plus » au vue des familles Américaines incapables de rembourser leurs emprunts, mettant ainsi dans le rouge d’importantes institutions financières et par la même occasion l’Economie entière du pays. Il n’ s’agit pas seulement des Subprimes, mais il y a aussi des événements politiques, des guerres, mais aussi des gros capitaux faisant varier à leur guise la bourse et pour finir d’importante sociétés d’investissements.
Un fléau répercuté sans attente en Europe et notamment en France, touchant le cercle