LA DETTE DE L’ONU ENVERS LES DROITS DE L’HOMME: L’abolition du concept de la diversité de races

D’origine italienne, le mot « race » vient de « razza » , terme utilisé à la renaissance pour faire référence aux variétés d’animaux et de plantes domestiquées qui a fini par être lié à la colonisation européenne. L’évolution de l’usage du mot passe de l’expression « variété de l’espèce humaine » à celle de « races humaines » du 15è au 19è siècle. Cette appellation se fonde sur la différenciation des caractères physiques et mentaux héréditaires et traine une forte nuance évaluative portant sur des « races supérieurs » et des « races inférieurs ».

* La pluralité des races n’a aucun fondement scientifique

Scientifiquement il n’existe pas plusieurs « races humaine » car aucun gène, ni allèle n’est unique dans une seule ou une autre des prétendues groupes de race sans que les autres n’en possède. Il semble dès lors déplacé de confondre les différences morphologiques, culturelles, linguistiques avec une différence de type scientifique. Car la seule différence entre les « races blanche », « noire », ou « jaune » anthropologiquement est la culture. En effet, il n’est pas possible de définir sur le plan biologique la notion de race humaine

Les textes fondamentaux parlent de « …sans distinction de race… » ?

* L’article 2.1 de la Déclaration universelle des droits de l’Homme:

« Chacun peut se prévaloir de tous les droits et de toutes les libertés proclamés dans la présente Déclaration, sans distinction aucune, notamment de race, de couleur, de sexe, de langue, de religion, d’opinion politique ou de toute autre opinion, d’origine nationale ou sociale, de fortune, de naissance ou de toute autre situation. »

* Article 2 de la Constitution française:

« La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l'égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d'origine, de race ou de religion...»