La délégation
Il faut être persuadé que le délégataire (le subalterne), par sa meilleure connaissance du terrain sera plus efficace pour effectuer la tâche, résoudre un problème, prendre une décision.
Déléguer = favoriser l’établissement d’un dialogue et d’un climat de confiance et enrichir les taches de l’assistant.
= Responsabiliser, motiver les collaborateurs en les impliquant.
= Pouvoir se recentrer sur les fonctions de manager (= se libérer du temps) et donc améliorer le niveau de performance de l’entreprise.
La délégation fait appel à des notions de responsabilité et de confidentialité.
2 types de délégation :
- La délégation de pouvoir : est un acte juridique par lequel le délégant se dessaisit d’une fraction des pouvoirs qui lui sont conférés et les transfère à une autorité subordonnée (le délégataire) Ce dernier doit alors assumer les responsabilités qui lui ont été délégués. En cas de manquement à une obligation pénalement sanctionnée, le délégataire sera responsable à la place du délégant. (ex : délégation de pouvoir du chef technique à un chef de poste concernant les règles d’hygiène et de sécurité du site de production)
- La délégation de signature : est un acte juridique par lequel le délégant délègue à un délégataire la faculté de signer des documents. (ex : doc à signer « pour le dg et par délégation » suivis des noms et qualités du délégataire)
Trois types de facteurs favorisant la délégation :
- Un creux dans l’activité
- Une absence
- Un surcroit d’activité
Quand déléguer ?
- Quand l’activité du manager et de l’assistant est moins intense
- Quand le manager doit s’absenter
- Quand le manager se voit attribuer de nouvelles