La grèce, élèment pertubateur de l'europe
Tout d’abord il est nécessaire de savoir, que la Grèce avait obtenu en 2001 son admission dans la Zone Euro grâce à des comptes falsifiés. Donc la Grèce est un pays déjà en difficulté bien avant la crise. Lors des débuts de la crise, l’ancien président conservateur grec annonçait un déficit public (dépense supérieur aux recette) de 6% du PIB pour 2009. Or lors de son arrivée au gouvernement le 6 Octobre de la même année, le Président George Papandréou, divulgue la réalité des chiffres : un déficit de 12,7% du PIB, qui diminue à 9,4% du PIB en 2010, la limite européenne est de 3% du PIB. La situation est alors considéré comme dramatique. Début décembre 2009, une grande agence de notation (Fitch Ratings) fait descendre la note d’Athènes en dessous de A. Elle passe de « A- » à « BBB », cette note donne au marché une appréciation du risque de solvabilité (capacité à rembourser) du pays. Plus la note est basse, moins on prête de l’argent au pays. De plus, la Grèce est un pays qui exporte peu, mais importe beaucoup, donc elle affiche un déficit du commerce extérieur. Le pays en vient donc à multiplier ses empreints, malgré sa faible notation, sa dette augmente considérablement au fil des années. La dette de la Grèce s’élève aujourd’hui à environ quatre cent milliard d’euro soit 158% du PIB en 2011, malgré l’abaissement de la note de certaines banques. La souveraineté nationale grecque est ‘menacée’ par l’impasse financière. C’est pourquoi, en décembre 2009, Jean-Claude Trichet, président de la banque centrale européenne, appelle le gouvernement grec à