La part de l'eduaction
« Une jeune femme au Mont Limon » est un roman de Marcelle Lagesse. Son œuvre voire chef-d’œuvre fut imprimée en 1993 et l’intrigue se passe à Rodrigues. Parmi les différents thèmes traités dans le roman, celui 3de l’éducation occupe une place de choix. L’éducation peut être divisée en trois domaines : le savoir – les connaissances académiques, le savoir-faire – les compétences pratiques, le savoir-être – les responsabilités d’un individu par rapport à son environment.
le savoir
Cette branche se relie étroitement à Amandine, une fille qui a étudiée aux Dames de Lorettes. Pendant les seize ans qu’elle a passé à Maurice elle a non seulement étudiée mais elle a aussi un boulot : « je m’engageais comme institutrice dans une famille sur une habitation de moka » et un boulot qui lui plaisait : « mon travail me plaisait ». Cela démontre l’indépendance d’Amandine car après ses études elle a su vivre « comme (elle) le (souhaitait) ».Nous voyons aussi qu’elle a une notion sur les finances, les affaires, la science et qu’elle savait lire et écrire : « d’ouvrir l’Almanach une fois par semaine…et de noter l’heure du coucher du soleil afin de contrôler les pendules sans risque de se tromper. »
LE savoir-faire
Joseph et Zélia incarnent à juste titre le savoir-faire. Ces personnages-là débordent d’aptitudes manuels malgré leurs connaissances académiques restreintes – ils sont obligés de partir chez un écrivain publique afin d’écrire une lettre. Zélia cuisine très bien, personne ne lui a reproché. Au contraire elle a même une « réputation de cuisinière ». De plus notre chère Zélia idéalise le rôle de la femme au foyer vu qu’elle sait tout faire surtout pour tenir une maison et spécialement elle est en vogue pour les occasions spéciales telles que les noces ou le « dîner qui serait suivi d’un séga… ». Joseph et le bénévoles qui aidaient pour la récolte possèdent des talents manuels en abondance pour « l’épi de