La Politique du chomage
demandeur sur deux, peut relever de l’aide sociale, et non de l’assurance
• Allocation spécifique de solidarité (ASS): c’est l’aide social de droit
commun qui part de l’allocation assurance chômage. Elle relève ici de
la compétence de l’Etat et pour cette raison es un aide incessible et
insaisissable. Elle trouve son origine dans le code du travail. Elle doit
satisfaire des conditions de ressources et d’activité professionnelle. Le
demandeur doit avoir travaillé, et donc cotisé, au moins 5 ans. En effet,
voilà qu’une grande partie des chômeurs ne peut pas recevoir cet aide.
Depuis le 1 Janvier 2014 l’allocation spécifique de solidarité est versée
à toutes personnes qui se trouvent sous un montant d’argent perçu
chaque mois. Le bénéfice de l’ASS est préalable à ce de l’RSA. En 2004
le gouvernement a volu reformer la ASS : maintenant les conditions
d’accès sont plus durs. La loi financière a bloqué l’ASS après deux ans de
réception.
Critique : le droit constitutionnel est limité dans le temps. Il aurait été
mieux rendre encor plus durs les conditions d’accès plutôt que limiter sa
• Allocation temporaire d’attente (ATA): jusqu’au 2006 elle avait une
autre nom, puis elle a changé nom et fonctions en force d’une directive
européenne du 2001. Pour bénéficier de l’ATA le demandeur doit
respecter plusieurs conditions : il doit avoir ressources inferieures
du montant RSA, par ailleurs l’ATA n’est pas versée seulement aux
ressortissant (demandeurs d’emploi) ou aux apatrides, mais même à
certains détenus et qui sont toujours demandeurs d’emploi depuis un
ans après leurs libération.
L’Etat a exclu deux demandeurs d’asile par l’ATA. Conseil d’Etat (Simad).
La pratique excluant l’ATA est jugé illégal car n’était pas une compétence
de la France car les ressortissants doivent se faire traiter les demandes