La renaisssance et l'état monarchique
Suzeraineté et souveraineté
La suzeraineté c’est-à-dire à l’intérieur du royaume.
La souveraineté du roi c’est construite à l’extérieur à l’occasion de deux affrontements : la lutte contre l’empereur et la lutte contre le pape.
La lutte contre l’empereur : Cette lutte vient des prétentions de l’empereur du saint empire romano germanique, il se prétend détenteur du pouvoir royal. L’empereur revendique l’Auctoritas qui est le pouvoir de l’empereur et aussi la Potestas qui est pour les rois.
Ce sont des théories qui ne plaisent pas au roi de France.
Le refus du roi de France Philippe le Bel en ce qui concerne l’enseignement du droit romain.
Deux adages qui incarne le refus du roi de France « Le roi ne tient de personne » : féodal, suzeraineté, « Le roi est empereur en son royaume », souveraineté.
La bataille en 1214 de Bouvines, Philippe Auguste gagne cette bataille, seul. C’est ce jour- là qu’est nait la nation française
L’indépendance du roi vis-à-vis du pape car il y a un désir de domination. Depuis la réforme grégorienne l’église a changé. Elle se sent suffisamment forte à la fin du 16ème siècle sous l’influence d’un pape de caractère Boniface VIII.
Lutte personnelle entre Boniface et Philippe IV « le Bel ».
Cette lutte se terminera par la victoire du roi de France.
Cette lutte se base sur des faits mais aussi sur des théories.
Dont une de Thomas d’Aquin qui affirme que l’ordre politique est un ordre autonome de l’ordre religieux.
en 1303, Guillaume de Nogaret, il fait partit des légistes du roi, des proches du roi. Philippe le Bel le charge d’une mission d’aller voir le pape pour pouvoir répondra à la bulle.
La mort du pape fait cesser la bataille, le roi remporte donc la victoire.
Le Gallicanisme désigne les prétentions du roi de France d’avoir la main sur l’église. Le roi dirige les affaires de l’église catholique française.
Plan :
I- Le roi suzerain, un