La ségrégation raciale dans une vie de boy de ferdinand oyono
Depuis des lustres dans nos société, plusieurs pratique ou phénomènes mettent en conflits ou en querelles les peuples d’un même ou de différents pays voire même des continents. Aux nombres de ces faits fâcheux, figure entre autre le Racisme, la ségrégation Raciale etc. Suivez à travers ce tour présentatif, les manifestations, les causes et conséquences de la ségrégation raciale dans le roman de Ferdinand Oyono intitulé Une vie de boy.
I DEFINITION DU THEME
La ségrégation raciale : Encore appelé l’APARTHEID est donc la séparation bien organisée entre certaines races au sein d’une communauté, elle est aussi définie comme action de séparer les personnages d’origines, de mœurs, de religion différentes à l’intérieur de leur pays, elle se fait aussi suivant la couleur de la peau.
II LA SEGREGATION RACIAL
a) Ses manifestations
La ségrégation racial a commence depuis l’ère coloniale. Elle s’est intensifié lorsque Toundi a commencé à fréquenter plusieurs reprises les blancs surtout le père Gibert. C’est ainsi qu’un jour au village on lui adresse cette parole car il s’est fait pour refuge le père Gibert. A l’église pour la communion les dimanches les blancs et les noirs ont chacun leurs Sainte Table, ceci bien organisée par les blancs. Lorsque le père Gilbert est mort d’une manière tragique, Toundi voulant regardé le corps de son bienfaiteurs fut refoulé à plusieurs reprises toujours par les blancs à cause de la couleur de sa peau. Au cimetière les blancs ont leurs propres places. C’est au sein de cette place réservé uniquement pour les blancs que le corps du père Gilbert fut enterré.
Aussi au cercle européen les noirs sont limités dans un intervalle d’heures pour leur besoins de distraction. Dans l’église St Pierre de Dangan le plan d’occupation illustre bien cette pratique car pendant que les blancs c’assoient dans les fauteuils les noirs s’asseyent sur des troncs d’arbres. Certes, les blancs se croyant supérieur obligent les noirs à faire