La tauromachie
Le corpus que nous devons considérer a pour thème la tauromachie, il s’agit ici de savoir si la corrida exprime les mêmes opinions et les mêmes sentiments entre différentes cultures. Nous allons voir que les idées sur la corrida varient d’un pays à un autre.
Dans un premier temps, les documents semblent affirmer que la corrida est un art. Le premier document est un article de la revue Le Figaro de juillet 1989 et il est signé Jean Bousquet. Il explique que le combat entre l’homme et le taureau ressemble à une pièce de théâtre. Il s’agit d’un dialogue qui dégage des sentiments, de la beauté entre la bête et l’humain. De plus il indique que la scène du « poignard est un acte unique» qui ce déroule dans un petit espace. La corrida a inspirée des artistes (Picasso, Goya) pour leur toile, comme si la tauromachie était une muse. De même, dans le deuxième texte qu’Alain Bougrain-Dubourg a écrit en 1991, nous affirme que donner la mort et un « spectacle » est un acte incompréhensible et inacceptable.
De plus les auteurs montrent que ce phénomène est en pleine croissance. Jean Bousquet parle d’une évolution, tandis qu’Alain Bougrain-Dubourg démontre que cette évolution ce situe surtout en France (Emission) et que les espagnols y montrent moins d’importance. Eric Baratay auteur de La Corrida est en accord avec Alain Bougrain-Dubourg ou il nous montre grâce à un sondage que 85.8 % sont en opposition à la corrida mais qu’il existe toujours de nombreux amateur.
A la deuxième lecture il semble que les auteurs expriment les sentiments de chacun face à la tauromachie. L’auteur de la revue rappelle que les sentiments ne sont pas les mêmes. Pour certain il s’agit juste d’un combat qui humilie le taureau lors de son abattement, pour d’autre s’est une raison de vivre car la foule se compare au torero. Même si les sentiments sont tout à fait opposé chacun est libres d’apprécier ou non la corrida. Dans le texte d’Alain Bourgrain-Dubourg les sentiments