La violence est aujourd’hui définie comme une partie intégrante de la société humaine, une source de troubles de l’ordre publique et le centre de débats politiques.
Après avoir analysé l’évolution des violences au cours du temps ainsi que la place qu’il leur est accordée au sein de notre société, nous verrons les conséquences qu’entrainent de tels actes.
Enfin nous verrons les différentes solutions apportées par les Etats européens en vue d’une diminution des violences. En France au XVI siècle, la violence est spectaculaire et est source de réjouissance pour le peuple. Elle est omniprésente et sa norme ne possède pas de véritables limites ; la pratique des mises à mort sur le bucher est courante et le peuple se livre même à des divertissements comme l’incinération de chats vivants. De nos jours, on traiterait toute personne se divertissant ainsi d’ « anormale » car cela va au-delà des normes établies par notre société. Cela démontre une évolution des mentalités et des violences car aujourd’hui la société a remplacé le bucher par des combats de boxe ou encore des courses hippiques. La violence se diversifie et prend place à tous les échelons sociaux et dans divers secteurs comme celui de l’entreprise, de la famille ou encore de l’éducation. Mais, une telle violence a des conséquences néfastes. En effet, par l’individualisation de la société et le manque d’égalité, l’école est sommée de réussir là ou là société échoue, d’inculquer aux jeunes des valeurs fondamentales de la vie en société. Par ailleurs les violences conjugales sont devenues une des causes principales de mort par homicide des femmes, ce qui a entrainé de nombreux facteurs traumatiques pour la gente féminine. Cependant, on note que notre société est de moins en moins encline à la pratique de violence et qu’elle met ainsi en place des réponses pénales à ce genre d’actes. En 2002 les agressions au sein du cercle familial ont été dénoncées au niveau européen.
De plus les gouvernements ont