« La prison agrandie. la pratique de l’internement aux lendemains du coup
Ces sanctions sont : le renvoi devant un conseil de guerre, la condamnation au bagne de Cayenne, l’envoi en Algérie en résidence forcée ou libre, l’expulsion hors France, l’éloignement momentané de la résidence, l’internement dans une ville déterminée, la condamnation à la surveillance et le renvoi correctionnelle. La sanction donnée dépend du caractère de danger et des antécédent de la personne juger. Cependant la peine qui nous intéresse le plus est l’internement dans une ville déterminée, car elle « n’appartient pas aux formes classiques de la justice ». C’est une peine nouvelle qui est donnée principalement aux personnes dont on n'est pas sure de la participation aux insurrections. « Sont internés ceux dont le passé de militant n’est pas suffisant pour « mériter » la déportation ou l’exil, mais qui ne peuvent être malgré tout innocentés ou simplement surveillés …afficher plus de contenu…
Ils perdent donc leur travail et leur moyen économique. Les internés sont donc en souffrances, les « chefs de famille réduits à l’état d’assistés », ils perdent leur autonomie économique et se retrouvent dépendants de leur parent. La peine d’internement et très mal vécu par les condamnés et a aussi un impact sur la société dû a la fermeture des magasins et des cabinet libéraux, mais aussi aux descentes de catégorie sociale. Ainsi qu’à la crainte de la population d’être