Le chef d'oeuvre inconnu
Première partie : analyse du texte
Dans le refrain, « je prie… m’ont prient », il y a un chiasme : une symétrie de construction de phrase, c'est-à-dire A-B, B-A.
- Les deux premières phrases sont en lien car « si j’avais ci » ⋄ « je serais ceci » mettent en place un besoin de posséder pour demeurer. Ces deux lignes montrent une assonance (répétition de mêmes sons vocaliques (voyelles) entre des mots)
- La dernière ligne du premier couplet (cf) est une métaphore pour dire que les supermarchés sont des adorations (temples=adorations + prières)
- La dernière phrase du refrain (cf) nous montre que nous passons d’une société réfléchie à une société de consommation.
- La première phrase du deuxième couplet du refrain (cf) est une accumulation (énumère de nombreux éléments qui s’additionnent) de verbes d’action de consommation
- La première phrase du troisième couplet (cf) est une comparaison de soi-même avec jordan le basketeur par le biais du parfum acheté.
- Le quatrième couplet nous montre qu’il n’est plus question d’apparence mais de non réflexion sur soi-même. En effet, les phrases s’enchainent rapidement pour éviter l’angoisse et ne pas regarder la réalité en phase.
- Le cinquième couplet nous montre que plus sa va plus les gens veulent se montrer et qu’il n’y a plus de vie privée.
- Le dernier couplet nous montre que seule l’image qu’on reflète importe et le