Depuis quelques siècles, le progrès technologique occupe une place importante dans plusieurs domaines. Chaque année, de nouvelles innovations sportives font leur entrée sur le marché. Parmi celles-ci, certaines sont interdites par les fédérations sportives. Il y a quelques années, le dopage génétique, plus connu sous le nom d’athlètes génétiquement modifiés a fait son apparition dans le monde de la compétition sportive. Les autorités en sont venues à se poser des questions sur ce phénomène durant les Jeux Olympiques de Pékin. Dans cet essai, il sera question des différentes sortes de dopage génétique puis des risques de celui-ci et finalement, je vous ferai part de mon opinion sur le sujet.
Le dopage génétique est basé sur le principe de la thérapie génique. Cette dernière compte des bons et des mauvais côtés. D’après plusieurs experts, cette thérapie s’avère une innovation pour ce qui est de la détection, la prévention et le traitement de maladies incurables. D’un autre côté, elle permet de créer des athlètes génétiquement modifiés. Cette deuxième partie de la thérapie génique est condamnable par les fédérations sportives.
Le dopage génétique consiste à modifier une personne (athlètes) de façon génétique afin d’augmenter les performances de cette personne dans un domaine choisi. Certaines cellules sont alors modifiées pour en améliorer la fonction. Par contre, ceci n’est pas sans défaut. En effet, le dopage génétique constitue une menace pour la santé de l’athlète ainsi que pour son intégrité au niveau sportif.
Il existe trois moyens pour modifier génétiquement un athlète. Dans la première, la personne se fait retirer du sang durant une partie de l’année ou l’activité physique est plus faible, pour ensuite se le faire réinjecter durant la saison forte, peu de temps avant une compétition ou lors de l’entraînement. Ainsi, les spécialistes peuvent modifiés les protéines fabriquées naturellement pour le corps. Au moment de la réinjection du sang, l’athlète à une