La connaissance est un concept que l’on discute depuis plus de 2000 ans. Plusieurs thèses sur le fondement de la connaissance ont surgi depuis ces années. Certaines sont toujours d’actualités et d’autres moins. Celle qui vient me chercher le plus est celle de Platon avec un monde que l’on ne peut pas toucher où se situent les Idées. Tout commença avec un philosophe qui parla d’une thèse que dans notre monde tout est en mouvement et en perpétuel changement, ce personnage historique est Héraclite. Sa thèse sur le monde a inspiré deux thèses complètement différentes celle de Platon et celle d'Aristote. Maître d'Aristote, Platon défend la thèse que le fondement de la connaissance vient de la raison. Tandis que, Aristote va vers l’opposé, que tout vient de nos sens. Les sens se situent dans le monde sensible autant chez Platon que chez Aristote. Platon vient souligner que l’on ne peut pas trouver la connaissance dans le monde sensible mais dans le monde des Idées. Le mythe Platonicien de la réminiscence est ce qui est laissé le plus de cotée vue le discours religieux sur l’âme néanmoins une partie reste intéressant, le sens de la réflexion pure. Cependant, la recherche des causes dans le monde sensible amène vers une réflexion, qui vient d’une observation du monde sensible, c’est le point fort de la thèse d’Aristote.

Tout d’abord, approfondissons un peu plus la doctrine d’Héraclite. La thèse de ce philosophe peut s’exprimer de cette façon, À ceux qui descendent dans les mêmes fleuves surviennent toujours d’autres et d’autres eaux. Nous pouvons constater cette façon de pensée que le monde est toujours en perpétuel changement. On vit, on meurt, nous redevenons poussière pour renaître et ceci montre bien que tout devient son contraire un jour. Nous pouvons observer ici un lien direct avec cette pensée que l’être qui est continuellement à en devenir et la thèse de Platon. Platon nous démontre avec l’allégorie de la caverne que le concept des Idées est situé dans un