Roxanne Dubois
Devoir 2

Dans l’extrait LE LEVER CHEZ LES BOURGEOIS, nous pouvons constater que le narrateur aborde beaucoup la luxuriance de leur vie, ce qui explique les inégalités sociales. Tout d’abord, lorsqu’il fait la description du logis, cela nous aide à mieux comprendre leur situation. Quand le narrateur fait la présentation de la chambre de Cécile, on voit bien qu’elle n’est pas pauvre notamment la « soie bleue » (l.45) qui est présente dans cette chambre, et le bois « d’acajou » (l.26) dans la cuisine. Les deux matériaux sont vendus à un prix élevé surtout à cette époque ou la classe moyenne n’existait pas. Les personnes ayant des difficultés financières ne peuvent pas se payer un tel luxe, leur priorité est plutôt de subvenir à leurs besoins primaires. Dans un deuxième temps, la description de l’état physique de la jeune fille est un autre argument qui démontre leur richesse. Lorsque l’écrivain nous fait l’éloge de celle-ci, il nous parle de sa « fraîcheur de lait » (l.49) et de « sa face ronde » (l.49). La métaphore qui est présente ici nous dit littéralement son statut social. Les pauvres travaillent dans les champs ils ont donc le teint plus foncé cette demoiselle a le teint très blanc ce qui signifie qu’elle ne travaille pas dans les champs, elle fait partie de la bourgeoisie. Le deuxième qualificatif est aussi une source de réponse puisque pour avoir un beau visage rond il faut avoir été nourri correctement et ne pas avoir eu de carence nutritive. Pour pouvoir être nourrie correctement, la famille doit avoir suffisamment d’argent pour acheter les aliments. Bref, la description du logis ainsi que la description de l’état physique de la jeune fille, révèle son statue sociale.

Par contre, dans l’extrait LE LEVER CHEZ LES MINEURS, nous pouvons constater que l’écrivain explique beaucoup le phénomène de rareté pour expliquer l’inégalité sociale. Premièrement, la description du logis nous permet de constater à quel point cette famille est victime