Français : le malade imaginaire

Dans le cadre du cours de Français, j’ai du lire un livre dont le nom est « Le malade imaginaire ». Celle-ci est une œuvre populaire dans le monde entier. Il faut aussi savoir que le « malade imaginaire » est une pièce de théâtre qui a traversé les années et qui est toujours lue et appréciée. Ce livre est une œuvre du classicisme (art de la maitrise, basé sur des règles strictes qui imposent pudeur et sobriété dans les thèmes et les formes), réalisée par Molière, qui n’était d’autre que le dramaturge attitré de Louis XIV qui fut le roi du classicisme. Elle l’est car elle suit différentes règles imposées par le classicisme (imitation des anciens, le goût de l’analyse morale, une conception universaliste de l’homme) même si quelques règles sont moins évidentes à percevoir tel que l’utilité morale de l’art. Je vais, par quelques arguments, expliquer comment Molière a suivi ces règles.
Pour commencer, Molière, en écrivant « Le malade imaginaire » a imité les anciens grecs qui eux aussi, à leur manière et à leur période, faisaient de la comédie. L’œuvre de Molière est sans nul doute l’une de ses œuvre les plus comiques et la plus connue.
Ensuite, l’écrivain respecte aussi le goût de l’analyse morale car il attribue à chacun de ses personnages un caractère et une psychologie, l’homme doit paraître une conscience plutôt qu’un corps. Par exemple, le plus évident est Argan qui est un hypocondriaque radin, capricieux, avare, susceptible…
Et puis, Molière a su faire percevoir à tous une conception universaliste de l’homme. Pour preuve, la popularité de son œuvre a traversé le temps et les continents car elle est lue et appréciée par des personnes de religions différentes, avec une morale différente et elle a été traduite en une dizaine de langues.
Toutefois, Molière fait, moins évidemment, apparaître une utilité morale de l’art dans son œuvre. Certains analystes pense qu’il a voulu faire passer un message (La fainéantise des médecins