Le marché des cosmétiques en argentine
L’Argentine est sous un régime présidentiel dans une république fédérale dirigée depuis 2007 par la Présidente Kristina Kirchner qui détient le pouvoir exécutif. I l existe un pouvoir législatif détenu par un Congrès composé de deux chambres : le Sénat et l’Assemblée Nationale.
En 2001 une fuite des capitaux a entraîné une grave crise économique. C’est pourquoi un plan économique productiviste a été mis en place en 2002 par Eduardo Duhalbe. Ainsi depuis, l’Argentine est entrée dans une période de croissance économique. Sa monnaie s’appelle le peso 1$ est égal à 3,9580 ARS et 1€ est égal à 4,8 ARS. Le salaire mensuel moyen brut d’un Argentin est de 2342 peso soit 616 $.
Au niveau des secteurs économiques le primaire concerne 8,4% du PIB contre 35,6% du PIB pour le secondaire et 56% du PIB pour le tertiaire. Le pays est membre de l’ONU, du MERCOSUR, de l’OMC, de l’OEA et de L’ALALDI.
2ème partie : LA DEMANDE :
Cosmétiques :
La crise de 2001 a provoqué une baisse du chiffre d’affaire dans le secteur des cosmétiques, mais grâce au rebond de la croissance, l’augmentation du pouvoir d’achat et de la consommation ce secteur est redevenu dynamique. La consommation à l’intérieur du pays s’est développée avec une hausse de 9,8% en 2007 alors que pour la ville de Buenos Aires et dans sa conurbation le taux d’augmentation n’a été que de 2,5%.
Depuis 2002, on assiste à une forte expansion de l’offre locale, compte tenu de l’augmentation et l’importance des consommateurs potentiels et leurs habitudes de consommation. Le consommateur argentin a toujours été très exigeant et amateur de marques mais celui-ci a dut adapter ses besoins notamment avec la crise de 2001, la marque devenant ainsi moins déterminante mais toujours importante. Les achats « plaisirs » ont du s’effacer pour laisser place aux plan « utilitaires » c’est-à-dire les produits jugés indispensables à la consommation mais depuis la reprise économique le