1.
Le modèle relationnel de la décision peut être abordé du point de vue idéal, et réel.
La modèle relationnel de décision idéal, ou rationalité objective se compose de 3 étapes : La prise en compte total de l’environnement, suivit de l’analyse de l’ensemble des choix possibles, pour finir par prendre la meilleure solution parmi toutes celles existantes, selon les critères valorisés à l’avance.
Alors que si l’on s’intéresse au modèle relationnel de décision réel on pourra observer de nombreuses incohérences entre ces 2 définitions. On retrouve un schéma de ces 3 étapes, mais de façon limité.

2.
La rationalité objective est limité par le comportement que vas adopter l’individu face à l’évolution de son environnement. La rationalité exige des choses qui sont impossible à accomplir aujourd’hui pour l’homme, on parlera d’idéal à atteindre.
Car pour attendre une rationalité objective, il faut être capable d’avoir une connaissance absolue des conséquences de ses choix, il faudra anticiper l’ensemble des résultats possibles. Sachant que l’anticipation fait appel à une part de projection dans le futur il est question d’imagination. Cette imagination devra être juste, basé sur toutes les expériences possibles, et à défaut leur attribuer une valeur parfaite, chose que l’esprit humain ne peut réaliser. Et pour finir cette rationalité objective devra mener à la prise d’une décision parmi la totalité des alternatives possibles. Mais il est impossible d’envisager toutes les possibilités.
Simon stipule donc que la rationalité objective est limitée par notre esprit humain, il est impossible de posséder une connaissance parfaite aussi bien de l’ensemble de notre environnement que de la totalité des conséquences de nos actes. Notre esprit est limité dans sa capacité d’anticipation et d’imagination.

3.
D’après Simon les mécanismes en jeu dans le processus de choix sont au nombre de 6.
Le premier mécanisme est celui de la docilité qui est quasiment naturel chez