Le tarbouche
Je me souviens de ma vie d’avant, celle que je vivais au Caire, je ne l’oublierais jamais. Ce n’était pas toujours facile étant un chrétien syrio-libanais en Egypte, pour s’intégrer mon père à décider de vendre des tarbouches, symbole national de l’Egypte. Obliger de fuir le Caire sous le règne de Gamal Abdel Nasser, puisqu’il décida qu’il n’avait plus de place dans l’Egypte pour des gens comme nous. Quand j’ai le temps, j’essayer de suivre se qu’il se passe en Egypte, savoir ce que Nasser a fait du pays. Apparemment, ceux qui était les Syriens en Egypte, son maintenant traiter d’Egyptiens au Liban. Contrairement à la politique de Nasser, nous avons été accueilli en France et n’avons subi aucune complication pour rentrer dans le pays. Partir pour la France était une bonne idée puisque nous savions qu’on aurait la liberté de vivre.
C’est le 6 mai 1964 et nous habitons en France, à Châtel-Guyon. La vie ici est certainement plus simple qu’en Egypte, ici nous sommes accepté même si nous sommes Syrien. Quand nous étions au Caire, on ne pouvions pas vraiment être un membre complet de la société égyptienne. On était toujours coincé entre deux langues, deux églises, deux cultures. On était pas toujours très confortable dans notre société. Mais comme papa disait si bien : “Ce n’est pas toujours très confortable, mais nos fesses sont faites ainsi”. Lui aussi, semblait s’habituait a sa nouvelle vie en France, il travail toujours le même boulot : Il vend des tarbouches. Seulement, contrairement qu’en Egypte, ou il parle du tarbouche comme si il était sans importance, un chapeau comme les autres. Ici, a Châtel-Guyon, la vente de tarbouche est spectaculaire. Tout les passants s’arrêtent pour voir le production car ils sont tous attirer par son étrange forme et la culture dont elle vient.
Il y avait une époque dans l’histoire de L’Egypte ou le tarbouche était considéré comme un emblème national et symbole d’une société heureuse. Le tarbouche