Rédiger un paragraphe de dissertationMéthodologie de la dissertationConstruire un planOn pourrait penser que dans Gargantua, le rire n’a pas toujours un propos sérieux Le rire lié à l’exagération, l’invraisemblance n’a pas forcément une fonction sérieuseLe rire qui repose sur le langage, les calembours, les effets de rythme est avant tout ludiqueOmniprésence d’un rire farcesque lié au corps, à la boisson, à la scatologie, à la sexualitéII. Pourtant, dans Gargantua, le rire est très souvent une …afficher plus de contenu…

Dès le prologue, Rabelais nous prévient qu’il faut chercher un sens profond derrière le côté trivial de son livre2. Même les passages les plus grossiers cachent en fait une réflexion philosophique profonde : l’exemple du torche-cul.3. Le rire apporte la liberté et le bonheur : Rabelais transmet une vision joyeuse, épicurienne de la vieRédiger un paragraphe de dissertation Tout d’abord, le rire lié à l’exagération, l’invraisemblance n’a pas forcément une fonction sérieuse. En effet, l’auteur joue sur le gigantisme des personnages. Ainsi, il s’amuse à imaginer le nombre de vaches nécessaire pour fournir le lait qui permet d’allaiter Gargantua à sa naissance. Le chiffre est évidemment astronomique. De même, l’auteur décrit au fil des pages la quantité invraisemblable de nourriture nécessaire pour nourrir le …afficher plus de contenu…

Ces situations invraisemblables, comme bien d’autres, visent bien sûr avant tout à amuser le lecteur, plus qu’à le faire réfléchir. Un paragraphe est construit autour d’une idée directrice annoncée dans la première phrasePour se justifier, on s’appuie sur des passages précis du livre que l’on raconte.Un paragraphe est un bloc, commence par un alinéa Tout d’abord, le rire lié à l’exagération, l’invraisemblance n’a pas forcément une fonction sérieuse. En effet, l’auteur joue sur le gigantisme des personnages.. Ainsi, il s’amuse à imaginer le nombre de vaches nécessaire pour fournir le lait qui permet d’allaiter Gargantua à sa naissance. Le chiffre est évidemment astronomique. De même, l’auteur décrit au fil des pages la quantité invraisemblable de nourriture nécessaire pour nourrir le