Lecture analytique « si tu t'imagines » queneau
Le texte que nous allons étudier est un extrait de l'instant fatal publié par Raymond Queneau en 1989. Nous en ferons une étude comparée avec un texte de Ronsard intitulé « Ode à Cassandre », issu du recueil publié en 1550
Dans quelle mesure le texte de Queneau est-il une leçon donné à la femme ?
Ces deux textes correspondent à la notion de carpe diem. Cette expression latine désigne en littérature avertissement que le poète dans ma femme et que la vieillesse qu'il attend. Elle est quasi indissociable du mémento mori patienté signifiant « souviens-toi que tu vas mourir »
• Ce texte met en place la présence du poète qui s'exprime avec utilisation de la première personne (vers 31 39 45 textes en ; vers 1 13 texte 2). On remarque que le poète utilise soit le « je » soit le « nous », ce qui peut être nommé « nous » de majesté => le poète a quelque chose à dire à la femme.
• En effet on remarque que le texte est adressé à deux femmes, une fillette dans le texte un et Cassandre dans le texte deux. La fillette et flux péjorativement dans le texte de Queneau tandis que la femme est comparée méliorativement dans le texte de Ronsard o en effet chez Raymond Queneau le suffixe « ette » est dépréciatif, il rabaisse la jeune fille en lui donnant une image décervelée. o Chez Ronsard, la femme est appelée « mignonne » au vers 1, 8,13. Elle est comparée de façon positive à une rose (vers 1-3-5-6). La référence au soleil, à des couleurs chaudes, sont des flatteries destinées à la femme.
• Ces poèmes sont des avertissements, avertissements qui sont perceptibles par l'usage de l'impératif : « allons », « voyez », « cueilliez, cueillez » vers un-sept-16 du texte de Ronsard ou bien encore « cueille » vers 39 du texte de Queneau
• Dans les deux cas les auteurs utilisent la référence à la nature pour faire passer leur