Les différentes formes du terrorisme en france
Le terrorisme sur le territoire français se décline sous différentes formes telles que le terrorisme politiques, religieux, indépendantiste, nationaliste ou sous différences plus abstraites comme le « cyberterrorisme » A. Le terrorisme politique :
La France a souvent été marqué par le terrorisme venant des partis politiques d'extrêmes : extrême gauche et extrême droite. Dans les années 1970 et 1980 (communément appelées « années de plomb » en raison de nombreux attentats), la France et l'Europe ont été victimes d'attaques venant de groupes d'extrêmes gauches comme « Action directe » (groupe armé anarcho-communiste, issu du mouvement autonome en France et anti-franquiste, interdit pour apologie de la lutte armée depuis un décret de 1982 ) dont ses membres ont revendiqué plus de quatre-vingts attaques et assassinats en France dont celui de l'ingénieur général René Audran (en 1985) ou celui de l'ancien P-DG de Renault, George Bresse (en 1986). Plus récemment, un groupe d'extrême gauche a saboté plusieurs lignes de TGV en 2008, paralysant le trafic, bien que la notion de terrorisme est à nuancer sur cette affaire puisqu'il y a eu uniquement de moindres dégats matériels et non physiques.
Logo de l'organisation « Action Directe » : En outre les partis d'extrêmes gauches, ceux d'extrêmes droites secouèrent la France entre les années 1950 et 1980. En effet, d'abord motivé par des événements haineux (événements Algériens) qui provoqueront des attentats « anti-immigrés » et « anti-gauchistes ». Ces vagues d'attentat culminèrent de violence et de terreur jusqu'à l'attentat contre le consulat algérien à Marseille qui fit 4 morts et une vingtaine de blessés par le « Groupe Charles Martel » (groupe armé français, d'extrême droite et qualifié de « anti-arabe » qui fit de nombreux attentats contre propriétés, entreprises ou gouvernements Algérien). Les groupes d'extrêmes droites ont également fait d'horribles