Les différentes visions de la vieillesse à travers l'art
1- La prison : Aborder la thématique de l’enfermement carcéral et de l’enfermement de la maladie, réfléchir sur l’accompagnement dans le non-jugement, le regard de l’autre et l’exclusion de l’emprisonné… 2- La loi Léonetti : Jean Léonetti, médecin cardiologue et homme politique membre du Parti radical (parti dit de centre-droit rattaché au groupe UMP au sein de l’échiquier politique, et dont le président actuel est Jean-Louis Borloo), fut mandaté en 2003 dans le cadre de l’affaire Vincent Humbert, par le président Chirac et le gouvernement Raffarin, à réfléchir sur les questions éthiques de l’accompagnement en fin de vie. En 2004, Jean Léonetti préside une mission parlementaire sur l’accompagnement de la fin de vie, qui a conduit à l’adoption le 22 avril 2005 de la « Loi relative aux droits des malades et à la fin de vie » dite loi Léonetti. 5 ans après l’adoption de ce texte de loi, qu’en est-t-il aujourd’hui de son application et de sa mise en pratique ? Est-ce-que cette loi a modifié les pratiques d’accompagnement (aussi bien au niveau des soignants qu’au niveau des bénévoles) et comment ? Est-ce-que cette loi est bien diffusée et bien connue du grand public ? Qu’en est-t-il du Politique et du Religieux dans les prises de position autour de la question de l’euthanasie ? 3- Le Deuil : La thématique du Deuil ou l’expression « travail du deuil » ou « faire son deuil » sont devenus récurrentes dans l’accompagnement de la personne dite en (fin de) vie. Pourtant, cette expression désigne un processus de séparation et de désinvestissement des liens d’attachement à la survenue de la perte définitive, du décès, de la mort d’une personne investie d’un lien affectif. L’accompagnement dans le cadre de la maladie grave est un accompagnement qui vient en amont du décès, qu’elle est alors la pertinence, dans le cadre de notre accompagnement, d’un référentiel sur le deuil alors que la mort n’est pas encore advenue ? Est-ce