Candide, le personnage principale du roman réaliste éponyme de Voltaire, est peu crédible et très crédule. A travers une fiction courte et plaisante, Voltaire retrace les tribulations d'un jeunes héro et les étapes de son éducation dans un monde atroce et plein d'hommes cruels. Des chercheurs se sont alors demandés si ce roman pouvait dénoncer la nature imparfaite des hommes. Cela nous amène à nous interresser sur la nature des cette étude: Est-ce que les travers des hommes peuvent être dénoncer par le recours à la fiction. Dans un premier temps je vais confronter les deux avis de Mathieu et Anne, ensuite j'énnoncerai ma thèse et je terminerai par l'analyse de six arguments. Pour Mathieu Couset, étudiant en littérature, la fiction est agréable tout en dégageant une vérité sérieuse. En effet, celle-ci est présentée de manière imagée, ancrée dans le réel, il pense que ce recours à la fiction permet de toucher même les plus jeune graçe par exemple aux fables de La Fontaine. Par contre, Anne Deneuve est claire sur le fait que les meilleurs moyens de dénoncer le caractère des hommes ce sont les genres non fictionnels ou argumentatif. Pour elle, les textes imaginaire ont pour but de plaire et distraire. Alors que dans le monde, le comportement des hommes n'est certe pas exemplair, les avis sur le meilleur moyen de le dénoncer divergent. En se qui me concerne, mon jugement aussi est mitigé. En effet, même si la fiction permet une dénonciation efficace, ce n'est pas le seul recours. Tout d'abord, l'imaginaire ne peut véhiculer la dimension réelle qu'apporte l'argumentation, elle peut s'avérer moins convaincante et donc aura moins d'impact. Le lecteur sera peut-être plus sensible à la lecture d'un discours ou d'une lettre ouverte pour dénoncer les caractères de l'homme. Dans le discours