Les fractures urbaines
En France, on emploie le terme de Fractures Urbaines au même titre que celui de fracture sociale. Il désigne l’écart, la différence entre les différentes classes sociales, de par leur condition salariale et illustré sur le plan géographique dans l’aire urbaine française.
Avant la fracture, il a le paradigme d’une ville génératrice d’un lien social ; le corps intact avant la fracture. Les fractures urbaines sous-entendent jouait un rôle intégrateur et ne le jouerait plus. Cependant l’espace urbain et auparavant la ville a toujours été formé à partir de hiérarchie et de ségrégation sociale, connues dans grands nombres d’organisations sociales. Cette décomposition passe d’abord par la décomposition de la classe salariale qui n’épargne ni les inclus du centre de la société qui subissent aussi la destabilisation salariale jusqu’au exclus qui sont le stade finale de la décomposition salariale.
Mais qui sont ces inclus, qui sont ses exclus ? Exclus de quoi ? Exclu d’une société qui prend les gens les plus riches et rejettent les plus pauvres (en exagérant fortement le schéma. Entre les deux une classe moyenne plutôt large qui vacilled’un coté et de l’autre.
Quels enjeux touchent aujourd’hui les fractures urbaines ?
I. L’organisation de la ville
On peut en déduire que le centre ville comporte beaucoup de petits logements (logements pour étudiants ?) ; que le péricentre ou première auréole est habité de plus en plus par les classes aisées (propriétaires de leur maison individuelle). C’est ce que l’on appelle la gentrification. La deuxième auréole est quand à elle plus populaire (importance des locataires et des immeubles). Certains quartiers se retrouvent encerclé par des rocades ou des zones industrielles, le quartier se retrouve isolé ou enclavé et les difficultés vont augmenter. La troisième auréole qui concerne le périurbain verrait elle