Les gants blancs

Dans les rites de Memphis Misraïm et Misraïm, en vous relisant ce que dit le V\M\ : « La seconde paire, vous l'offrirez à la Femme que vous chérissez le plus, non pas pour sa beauté matérielle, non pas pour l'attrait qu'elle constitue pour vos sens, mais à la Femme qui concrétise pour vous, à son maximum, l'Âme-Sœur, la Femme-Idéale, la parèdre, dans le monde physique, de la Mère-Éternelle, la Natura Naturanda ».
Il apparaît que l'image qui nous est donnée de cette compagne serait au-delà de l'humain et tendrait vers un absolu qui ne peut être qu'au-dessus des querelles sexistes. C'est l'être auprès duquel il vous est possible, même en perdition de vous ressourcer, de vous retrouver, voire de renaître. En termes Maçonniques, tous les deux sont de l’« habillement », le reste étant des «décors». En effet, les sautoirs, médailles, baudriers ou cordons ne sont que des décors.
L’un et l’autre ne sont remis qu’une fois dans la vie, même si le Tablier change avec les Grades, symboliquement il n’est remis qu’une fois.

VM et vous tous mes SS et FF en vos GG et QQ.

Quel point commun entre Karl Lagerfeld, Joséphine de Beauharnais, Charles VI, les athlètes noirs américains John Carlos et Tommie Smith et ... Michaël Jackson ? Le gant.
Deux-cent cinquante et une paires de gants finement brodés et protégés dans les coffres de Charles VI... gants pailletés d’or pour l’impératrice Joséphine qui ne portait jamais deux fois la même paire... gants mitaines noirs et cloutés ultra-contemporains pour le prince de la Haute couture... gants recouvrant les poings levés dans un geste de révolte aux Jeux Olympiques de Mexico en 1968... gants adjugé aux enchères pour 34 200 euros car porté par le roi de la « pop »...

Par définition, le gant est une pièce de l'habillement qui recouvre et protège toute la main, au moins jusqu'au poignet, et qui, en général, épouse la forme de chaque doigt séparément. Il peut être réalisé en diverses matière