Les grands courants idéologiques
Lundi 30 mai : 8h-12h dissertation, sujet sur le XIXe. 141-18h : anglais
Mardi 31 mai : 8h-12 : math 14-18h : Histoire géographie
Mercredi 1er juin : 8h-11h : synthèse de 3 heures. 14-17h : Espagnol.
Lorsqu’on fait la liste non exhaustive des idéologies au XX : capitalisme, hédonisme, individualisme, structuralisme, communisme etc. nombre de mots complètement quotidiens sont issus de noms communs, ou d’adjectif ou alors de grandes figures ou de grands noms ayant incarné un système d’idée. En un mot toutes ces bannières sont devenues tellement familières qu’elles sont aussi devenues des étiquettes. En un mot le XIX, XXe, a été parfaitement été amoureux des slogans et des termes en –isme, cela a participé à populariser ces termes mais le problème c’est que ces étiquettes sont devenues tellement vulgaires, populaires qu’on ne sait plus ce qu’elle recouvre sincèrement. Les idéologies sont devenus les victimes de leur propre discours, plus une idéologie est célèbre moins elle est connu dans son détail en réalité. Tout le monde croit connaitre le marxisme personne n’en parle correctement.
Cela est dénoncé sous la plume de nombreux auteurs, Flaubert écrivait en 1859 à Louise Colet en s’insurgeant contre le fait qu’on le qualifie de réaliste « tous ces termes en –isme me fatiguent, ils sont la caricature ., un moyen terme de la vulgarité, je hais ces boites, ces rangements d’idées, comme j’ai toujours détesté faire le ménage » D’où la nécessité de revenir sur le détail de ce tout le monde croit connaitre.
En gros l’idéologie est victime de sa célébrité. Le contemporain c’est l’immédiat, qui est directement en prise avec le temps immédiat. Le problème c’est que ce terme pose interrogation pour 2 ou 3 questions. Ce que nous appelons contemporains relève en réalité de notre passé. Mais il est intéressant car on l’utilise pour dire que ces grandes idéologies restent les nôtres, les idéologies qui nous administrent sont du